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Présentation generale du “mouvement des donateurs”

1re Nous croyons, qu’un monde just est possible, dans lequel tous les êtres humains sont heureux.
Pour cette raison nous voulons :
– suivre à notre conscience ;
– d’abord voir le bien dans les autres hommes et les rencontrer avec amour ;
– être franc et sincère ;
– partager inconditionnellement avec les indigents ;
– être responsable pour la santé et pour la guérison du monde entier ;
– nous engager non-violentement pour la justice.
Arriver à ses fins violentement ne montre pas, qu’on a raison – à part cela, un tel comportement n’appartient pas moralement à nous. Le combat de concurrence suivant au principe du rendement, est aussi une façon de la violence, par laquelle les plus forts oppriment les plus faibles. Pour cette raison nous voulons renoncer aussi à cela. Nous ne pouvons changer la société, que si les êtres humains particuliers changent. Mais d’abord nous devons changer nous-mêmes.
Nous invitons tous á prendre part.
(On peut trouver des façons d’expression différentes de ces idéaux fondamentaux de nous dans notre « collection des textes de présentation et des textes fondamentaux ».)

2nd Chacun/chacune est libre de lui-même/elle-même décider, comment loin il/elle veut réaliser les principes susdits. Face à la réalité actuelle (les guerres, la faime, la misère, la biodégradation, l’injustice sur l’un côté – l’abondance, le luxe, l’ignorance, « pain et jeus » sur l’autre côté), nous sommes d’accord, qu’on ne peut pas être assez conséquent dans l’amour, la véricité, le partage inconditionné, la simplification de la vie personnelle, la responsabilité et l’engagement personnel non-violent pour la justice.
Chacun/chacune, qui s’identifie avec les principes susdits, peut se considérer comme un « donateur ».
Qui a émancipé les bases de sa vie essentiellement des systèmes de l’État, de l’argent, de la violence et du décompte, et qui est prêt à se charger de toutes les souffrances et même à sacrifier la vie personnelle pour réaliser ces principes susdits – peut se compter au groupe fondamental des « donateurs », aux « donateurs existentiels ».
Qui n’est pas ou pas encore prêt pour cela, mais qui estd’accord en théorie avec les principes dénommés sous 1re , appartient au groupe plus modéré des « alliés des donateurs ».
Les « donateurs existentiels » entre eux décident unanimement surdes questions quants à la signification des idéaux.
Concernant des affairs pratiques, qui regardent les projets des « donateurs existentiels », les « donateurs existentiels » entre eux décident unanimement et négocient des conventions libres avec les « alliés des donateurs ».
Nous voulons examiner tous les domaines de notre vie, si nous réellement vivons conformément aux principes dénommés sous 1re.
»Toujours, quand tu es devant une décision, où ton égoïsme menacé de devenir trop fort, essaye le suivant : imagine-toi la face de la personne la plus pauvre et délaissée, que tu as jamaus vue, et questionne-toi, si le pas, que tu réfléchis d’aller, lui/elle rapportera quelque profit. Tu verras, tes doutes et ton égoïsme disparaîtront. » (M.K. Gandhi)

3e Concrètement, ça veut dire : d’abord nous essayons d’organiser notre mouvement en trois modes d’existence :-Les « pèlerins », qui vivent dans les rues en pauvreté volontaire pour inviter les êtres humains à changer leurs vies et à vivre ensemble avec nous conformément aux principes dénommés sous 1re (existe depuis 1991).-Les « maisons d’hospitalité », où nous partageons inconditionnellement notre vie avec les pauvres et avec les êtres humains difficils et indigents. Nous n’avons pas de propriété privée des terrains ou des immeubles, mais seulement les utilisons conformément aux «droits d’usage morals ». C’est-à-dire, nous ne les avons ni achetés ni conclu des contrats exigibles (existe depuis 1994 ; regarde à la description du projet).- Les communautés de vie autarciques, où nous voulons créer des maquettes d’une vie simple et naturelle : comme des êtres humains, qui veulent se traiter affectueusement, partagent fraternellement, decident paritairement et unanimement et traitent aussi l’autre nature le plus précautionneusement et doucement possible. Nous nous considérons comme un organe de la nature. « Autarcie » ne signifie pas pour nous une culture séparée de 100%, mais un train de vie, qui n’a pas besoins de torts – pas non plus de torts contre la nature. Nous cherchons une manière d’alimentation et de santé, qui sert à la nature, aux plants et aux animaux au lieu de tuer et de léser (existe depuis 1998 ; regarde à la description du projet).